UN FONCTIONNAIRE QUI COMMET UNE FAUTE GRAVE OU LOURDE : VIRE !
Je ne me positionnerai pas sur les dysfonctionnements évoqués, tant au SAMU que dans la chaîne des urgences, que ce soit à Strasbourg ou ailleurs en France. Je ne suis pas compétent, et ce n'est pas de mon ressort.
Mais, alors qu'une partie du pays et de son économie, le quotidien de beaucoup de nos concitoyens sont bloqués, bousculés, parce qu'une minorité (150/160 000 salariés sur 24 millions d'actifs en France) s'attache à défendre "son" statut, il est je crois utile d'élargir le débat du statut de la fonction publique en général.
A titre personnel, comme tout le monde, j'attends bien sûr que des mesures d'amélioration soient prises, au niveau des urgences ou du milieu hospitalier en général.
Mais, "vu de ma fenêtre", ça ne suffit pas.
Le document sonore établi clairement qu'il y a une faute, une faute avérée, lourde, lourde de conséquence, car, elle a entamée fortement les chances d'éviter la mort d'un être humain.
Ce que j'attends de plus, c'est que, partant du constat qu'il y a eu une lourde faute et donc une faute lourde, que la personne soit purement et simplement licenciée sans aucune indemnité que ce soit. Dans le secteur privé, pour une faute mille fois moins grave, le licenciement serait immédiat.
Alors elle a été suspendue et une enquête pour non-assitance à personne en péril a été ouverte.
Nous avons déjà eu déjà l'affaire d'Outreau, avec l'instruction du Juge Burgaud, et où il y a eu aussi mort d'un être humain.
Non seulement le juge Burgaud n'a pas été "viré", pâtissant uniquement d'une réprimande, mais il a été grassement promu le 21/12/2017, avocat général référendaire à la Cour de cassation.
Il me paraît impensable, inacceptable, inconcevable, surréaliste que des gens "comme ça" continuent d'être payés, ainsi que leurs retraites futures, avec les impôts et/ou les cotisations sociales de la collectivité.